Canular n°18 - 2 - Pièces de Charles-Simon Favart

Niveau moyen

Retrouvez les véritables titres des pièces de Favart. Attention aux pièges tendus par notre farceur de service !

Les Deux Tunnels
La Poire de Bezons
Le Cale-bourgeois
La Chercheuse de cris
La Fête des Saints Clous
Le Prix de sa terre
L'Hippo. est par ici
Le Toc de village
Noix de cajou
Les Mamours à la noix
Cimetière assiégé
Menhir et Beurette
Les Dindes dansantes
Crouton et Rosette
Les Amours de Baston et Bas-se-tiennent
La Serre vante mes tresses
Minette à la tour
Les Trois Soutanes ou Soliman fécond
Aneth et Lupin
L'Onglet à bords doux
La Fée Prunelle ou Ce qui plaît aux cames
La Rombière de Salency
Le Bel Larsen


Réponses ci-dessous. Answers below.

1734 : Les Deux Jumelles
1735 : La Foire de Bezons
1738 : Le Bal bourgeois
1741 : La Chercheuse d'esprit
1741 : La Fête de Saint-Cloud
1742 : Le Prix de Cythère
1742 : Hippolyte et Aricie
1743 : Le Coq de village
1744 : Acajou
1747 : Les Amours grivois
1748 : Cythère assiégée
1750 : Zéphire et Fleurette
1751 : Les Indes dansantes
1753 : Raton et Rosette
1753 : Les Amours de Bastien et Bastienne
1755 : La Servante maîtresse
1755 : Ninette à la cour
1761 : Les Trois Sultanes ou Soliman Second
1762 : Annette et Lubin
1763 : L'Anglais à Bordeaux
1765 : La Fée Urgèle ou Ce qui plaît aux dames
1769 : La Rosière de Salency
1773 : La Belle Arsène

Sabine Chaouche
03/31/2017

Publication: "Creation and Economy of Stage Costumes. 16th-19th century" ed by Sabine Chaouche

Publication type: Journal
Editor: Chaouche (Sabine)
Abstract: European Drama and Performance Studies is a journal devoted to the history of performing arts. Thematic issues are published in French and/or English.
Number of pages: 375
Parution: 07-05-2023
Journal: European Drama and Performance Studies, n° 20

Ce volume fait découvrir au lecteur un atelier souvent méconnu : celui des costumes de théâtre sous l’Ancien Régime. Il met en lumière les différents métiers relatifs à la fabrication des tenues des acteurs, l’univers des marchands ainsi que les coûts liés aux commandes de textiles ou de vêtements. Cet ouvrage redonne une place centrale à l’archive, et plus particulièrement aux sources méconnues que sont les factures des tailleurs, des perruquiers ou d’autres fournisseurs tels que les drapiers, les merciers, les plumassiers, les bonnetiers etc. Il met en lumière à travers les huit articles et annexes qui le composent, un pan de l’histoire du costume de scène longtemps délaissé.


classiques-garnier.com/european-drama-and-performance-studies-2023-1-n-20-creation-and-economy-of-stage-costumes-16th19th-century-en.html

Sabine Chaouche
10/14/2023

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Saturday, March 12th 2011
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Marivaudage et gloire des amants par Noémie Courtès.





Anne-Marie Lazarini met en scène "Les Serments indiscrets" de Marivaux.

Marivaux. (Wikicommons)
Marivaux. (Wikicommons)
Cette comédie était l’une des préférées du dramaturge, même si sa forme en cinq actes avait failli lui coûter le succès en 1732 (il ne se le fera pas dire deux fois et reviendra ensuite à des formes plus courtes). Contrairement à ses habitudes, il n’y peint pas la naissance de l’amour et ces incertitudes, mais l’empêchement de l’aveu et les tourments qui en résultent. Lucille et Damis se plaisent en effet au premier regard, mais, volontairement mal conseillés par leurs gens qui souhaitent les garder célibataires pour mieux pouvoir les manœuvrer à leur guise, et guindés sur des principes d’honnêteté qui les empêchent autant l’un que l’autre de se déclarer en premier, ils s’enferrent dans une vaine gloire qui les pousse à refuser le mariage, voire à risquer un autre mariage. Car les pères sont pour une fois ouverts aux vœux de leurs enfants et, dans leur aveuglement, décidés à leur complaire en tout.

A la sobriété de l’intrigue répond celle du décor unique de François Cabanat, fait de panneaux de plastique blanc (hélas un tantinet préjudiciables à l’acoustique) éclairés selon les ouvertures qu’il faut se figurer. Au centre du plateau, un clavecin d’un rouge éclatant et quelques galets lumineux géants qui suffisent à servir de perchoirs aux protagonistes en mal de confidences. Les costumes de Dominique Bourde sont délicieusement anachroniques (plus Empire que Régence) et donnent aux jeunes filles une allure pimpante en accord avec la pièce.

Quant aux acteurs, ils servent avec talent le texte, en particulier Isabelle Mendré, qui interprète la sœur, et se joue avec esprit de ces amoureux transis à l’honneur si mal placé.

Compte rendu par Noémie Courtès.

Paris, théâtre Artistic Athévains, 45 bis RUE Richard Lenoir, jusqu’au 24 avril 2011.

sc - Noémie Courtès




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