Ariane Martinez est maîtresse de conférences habilitée à diriger des recherches en arts de la scène à l’Université de Lille et membre du Centre d’Etudes en Arts Contemporains.
Ses recherches portent sur l’histoire du jeu corporel. Elle a publié et dirigé des ouvrages sur la pantomime, la contorsion, le vaudeville et la mise en scène, de la fin du XIXe siècle à aujourd’hui.
Ses recherches portent sur l’histoire du jeu corporel. Elle a publié et dirigé des ouvrages sur la pantomime, la contorsion, le vaudeville et la mise en scène, de la fin du XIXe siècle à aujourd’hui.
Publications
Contorsion : histoire de la souplesse extrême en Occident XIXe-XXIe siècles, ouvrage coédité par le Centre National des Arts du Cirque et la Revue d’Histoire du théâtre, 2021.
Carnets de recherche, Notation Benesh / Contorsion, entretiens avec huit contorsionnistes, publication du CNAC, en partenariat avec la Chaire IciMa et la MESHS-Nord, 2019.
Gestes ordinaires dans les arts du spectacle vivant, direction de ce dossier pour la revue L’Annuaire théâtral (UQAM), n°63-64, printemps-automne 2018, parution 2020.
Jouer (avec) la vieillesse, n°86 de la Revue Recherches et Travaux, direction de cet ouvrage collectif, 2015.
Le Vaudeville à la scène, ouvrage collectif co-dirigé avec Violaine Heyraud, Grenoble, ELLUG, 2015, introduction p. 7-15.
Graphies en scène, ouvrage collectif co-dirigé avec Jean-Pierre Ryngaert, Montreuil, Éditions théâtrales, 2011.
La Mise en scène théâtrale de 1800 à nos jours, en collaboration avec Bénédicte Boisson et Alice Folco, Presses universitaires de France, Collection « Licence », 2010. Nouvelle édition, collection « Quadrige Manuels », 2015.
La Pantomime, théâtre en mineur (1880-1945), Presses de la Sorbonne Nouvelle, 2008. A1, A2, A3.
Carnets de recherche, Notation Benesh / Contorsion, entretiens avec huit contorsionnistes, publication du CNAC, en partenariat avec la Chaire IciMa et la MESHS-Nord, 2019.
Gestes ordinaires dans les arts du spectacle vivant, direction de ce dossier pour la revue L’Annuaire théâtral (UQAM), n°63-64, printemps-automne 2018, parution 2020.
Jouer (avec) la vieillesse, n°86 de la Revue Recherches et Travaux, direction de cet ouvrage collectif, 2015.
Le Vaudeville à la scène, ouvrage collectif co-dirigé avec Violaine Heyraud, Grenoble, ELLUG, 2015, introduction p. 7-15.
Graphies en scène, ouvrage collectif co-dirigé avec Jean-Pierre Ryngaert, Montreuil, Éditions théâtrales, 2011.
La Mise en scène théâtrale de 1800 à nos jours, en collaboration avec Bénédicte Boisson et Alice Folco, Presses universitaires de France, Collection « Licence », 2010. Nouvelle édition, collection « Quadrige Manuels », 2015.
La Pantomime, théâtre en mineur (1880-1945), Presses de la Sorbonne Nouvelle, 2008. A1, A2, A3.
Blanche Allarty- Molier ([1872]-1962)
Ecuyère de haute école, élève puis épouse d’Ernest Molier, elle reste attachée au cirque Molier, ce qui lui assure une visibilité dans la presse. En 1897, Elle crée et fait tourner le cirque franco-arabe, dans lequel elle dresse et chevauche des chameaux dont elle introduit le dressage en France. Ses numéros sont remarquables par leur variété et leur inventivité : travail debout sans selle, trapèze à cheval, sauts planés sans obstacle en amazone.
« Certainement, la femme peut et doit pratiquer des sports et des exercices propres au développement de son corps et profitables à sa santé. Reste à choisir ces sports. […] Il est certain que si les jeunes filles essayaient de voltiger à cheval, cet exercice ne tarderait pas à compter parmi leurs sports favoris, aussi bien que le tennis, le patinage et le golf. »
Extrait d’une lettre de Blanche Allarty en réponse à la question d’André Gayot : « Le sport est-il nécessaire à la femme ? Quel sport doit-elle choisir ? », La Dépêche (Toulouse), 29 décembre 1913, p. 5.
« Certainement, la femme peut et doit pratiquer des sports et des exercices propres au développement de son corps et profitables à sa santé. Reste à choisir ces sports. […] Il est certain que si les jeunes filles essayaient de voltiger à cheval, cet exercice ne tarderait pas à compter parmi leurs sports favoris, aussi bien que le tennis, le patinage et le golf. »
Extrait d’une lettre de Blanche Allarty en réponse à la question d’André Gayot : « Le sport est-il nécessaire à la femme ? Quel sport doit-elle choisir ? », La Dépêche (Toulouse), 29 décembre 1913, p. 5.